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journalisme
Depuis trente ans, elle est sur tous les fronts. Pur produit du service public, Maryse Burgot a imposé son style et sa voix singulière à la télévision.
Isabelle écrit que EduBirdie est une entreprise ukrainienne, mais c'est faux. Apparemment, elle est basée à Chypre (voir page 'Contacts').
« En ce moment, ce qui remplace le partage de contenus tirés des médias canadiens, c’est un effort pour distraire les usagers à grand coup de robots conversationnels ou de promesses d’une vie en ligne à l’image d’un dessin animé. (…) Avons-nous donc renoncé à notre souveraineté culturelle, à nos droits et libertés pour se soumettre aux dictats des géants américains (et aussi chinois) du Web ? »
Le contrôle des nouvelles canadiennes a toujours été assuré via le contrôle des médias: papier, imprimerie, réseaux de transports terrestres, infrastructures de radiodiffusion publiques ou privés régies par l'état. Quand Internet et son architecture de "dumb network" décentralisé est arrivé, notre industrie médiatique n'y a pas cru, l'a boudé, puis a fini par s'y lancer à reculons, sans appliquer la logique du réseau décentralisé et collaboratif qui est devenu la norme aujourd'hui. Elle a laissé les "plateformes" bâtir seules les architectures multidirectionnelles où la démocratie pourrait fleurir (voir les "printemps arabes") et s'enrichir (voir les blogues de Mediapart, titre qui a su valoriser le journalisme d'enquête en rendant son abonnement indispensable et suffisant pour le rendre viable économiquement).
Résultat: un appauvrissement généralisé des contenus et, maintenant, cette vaine tentative de reprendre la main par la coercition légale, c'est à dire par l'idéologie la plus centralisatrice qui soit.
Bizarrement, ma blonde est abonnée au Devoir mais moi, je ne peux pas publier ce commentaire sous l'article sans contracter un second abonnement familial, ce qui ne fait pas de sens. Alors je le fais ici, là où le journal alimente lui-même la bête dont il se dit victime et qu'il prétend mettre au pas.
Monsieur Pierre Trudel, je crois que votre démonstration, à première vue juste est logique, est fallacieuse car elle ne fait que perpétuer la nostalgie d'un modèle d'affaires conservateur et révolu. La démocratie reposerait, selon vous, sur la publicité de masse, donc sur la consommation et la croissance économique sans limite qui provoquent une exploitation insoutenable des ressources naturelles et, au final, la crise climatique dans laquelle nous nous enfonçons toujours un peu plus chaque année. Permettez-moi de ne pas vous suivre dans ce cul-de-sac. Nos élites intellectuelles et médiatiques devraient chercher des voies plus novatrices, rassembleuses, collaboratives et multidirectionnelles pour animer de véritables débats démocratiques tout en réformant en profondeur leurs vieux modèles d'affaires.
Résultat: un appauvrissement généralisé des contenus et, maintenant, cette vaine tentative de reprendre la main par la coercition légale, c'est à dire par l'idéologie la plus centralisatrice qui soit.
Bizarrement, ma blonde est abonnée au Devoir mais moi, je ne peux pas publier ce commentaire sous l'article sans contracter un second abonnement familial, ce qui ne fait pas de sens. Alors je le fais ici, là où le journal alimente lui-même la bête dont il se dit victime et qu'il prétend mettre au pas.
Monsieur Pierre Trudel, je crois que votre démonstration, à première vue juste est logique, est fallacieuse car elle ne fait que perpétuer la nostalgie d'un modèle d'affaires conservateur et révolu. La démocratie reposerait, selon vous, sur la publicité de masse, donc sur la consommation et la croissance économique sans limite qui provoquent une exploitation insoutenable des ressources naturelles et, au final, la crise climatique dans laquelle nous nous enfonçons toujours un peu plus chaque année. Permettez-moi de ne pas vous suivre dans ce cul-de-sac. Nos élites intellectuelles et médiatiques devraient chercher des voies plus novatrices, rassembleuses, collaboratives et multidirectionnelles pour animer de véritables débats démocratiques tout en réformant en profondeur leurs vieux modèles d'affaires.
Même fréquence | On aborde la pratique du journalisme politique avec trois passionnés de ce domaine dont le Rimouskois d'origine Gilbert Lavoie, auteur de Dans la cour des grands... et des gérants d'estrades, qui a été journaliste durant une quarantaine d'années en plus d'avoir travaillé aux côtés de Brian Mulroney ; Tristan Péloquin, journaliste d'enquête à La Presse qui a publié Faire ses recherches, livre dans lequel il s'intéresse aux personnalités conspirationnistes et Karine Prémont, directrice adjointe de l'Observatoire sur les États-Unis et professeure à l'École de politique appliquée à l'Université de Sherbrooke, qui publie La puissance américaine mise en échec, de la guerre du Vietnam à l'Irak.
Depuis que la guerre en Ukraine a commencé, le documentaire d’Anne-Laure Bonnel sur le Donbass circule énormément. Si la réalisatrice se dit apolitique, son film, en revanche, ne l'est pas.
Ce pionnier du #journalisme #cinéma/tographique argentin a connu une fin tragique qui aurait sa place dans le scéna…